A69 : Conférence de Presse de la ZAD

texte de la conférence de presse donnée le mardi 27 août.

Bon matin à tous et à toutes, merci d’être présents et presentes à cette conférence de presse. 

Avant toute chose, nous tenons à préciser que nous sommes ici en tant qu’occupants et occupantes de la ZAD du tracé de l’A69. Nous sommes militants et militantes, acteurs et actrice d’un mode d’action directe et radicale pour ralentir et contrer le bulldozer de la métropolisation et de la technocratisation du monde.

Il n’est pas chose facile de s’exprimer au nom de la zad. La zad n’a pas de voix, elle n’a pas de visage. Elle est nombreuse, différente, polymorphe et imprévisible. Elles est une multitude de valeurs, d’espoirs, et d’utopies. Elle refuse toute étiquette, toute célébrité et toute image qui nous viennent de l’ancien monde. Ce sont différentes visions du monde et des luttes à y mener qui se sont rassemblées ici pour s’adresser à vous toustes.

Si nous sommes ici devant vous, visages dissimulé.es c’est pour préserver l’égalitarisme qui nous uni. Nous sommes également devant vous cagoulé.es car victime d’un fichage et d’une répression injuste et oppressante de la part de celle et ceux que nous dérangeons.

La montée de l’extrême droite orchestrée par les médias et les ultras riches qui les possèdent depuis de nombreuses années, ainsi que l’inaction des dirigeants face à la crise climatique déjà à l’œuvre, nous poussent à respecter les devoirs que nous tenons pour fondamentaux : le devoir de se rebeller, le devoir de se libérer de toute les oppressions systémique banalisées dans nos mentalités, le devoir de dire stop à un monde qui ne convient qu’à une élite minoritaire, aveugle et sourde à toute forme de contestation.

Nous sommes sur vos écrans aujourd’hui, convaincus d’avoir des choses à dire, des choses à faire car la vie nous appartient et que nous devons en reprendre le contrôle. Nous dédions ces paroles à toute les personnes enfermé.e.s, et toute celles et ceux victimes au quotidien de la répression policière et judiciaire qui accompagne systématiquement une dérive autoritaire du pouvoir, alors même qu’elles se battent pour des causes essentielles à notre survie. À l’échelle européenne, l’ONU condamne les conditions dans lesquelles les militants écologiques sont traité.es. À l’échelle mondiale, c’est plus d’une personne qui meurt tout les deux jours, pour avoir osé.es espérer un futur plus sain pour sa planète.

On le sait, l’heure n’est plus à l’hésitation mais à la remise en question. Tous les voyants environnementaux sont dans le rouge. Les premières victimes du réchauffement climatique en subissent les conséquences, directes et indirectes, partout sur la planète depuis bien plus longtemps que les instances décisionnaires ne veulent bien le reconnaître. Et donc, même si une part de doute subsiste chez certains et certaines, bien souvent influencé par les lobbies des multinationales, cela ne doit ni ne peux plus être une raison suffisante pour ne pas appliqué des mesures indispensables et contraignantes pour mettre fin aux ravages de l’expansion urbaine, du déboisement, de l’assèchement des sols, et des nombreuses autres formes de destruction massive du vivant, qui accompagne toujours des projets de constructions tels que des autoroutes, sous couvert d’un greenwashing à peine dissimulé.

Un fait indéniable à propos de la construction d’une autoroute c’est que la destruction des sols et de la biodiversité, les pollutions atmosphériques, visuelles et sonores auront un impact sur tous et toutes. Cela accentue le besoin d’un système de santé efficace, alors que celui dont nous disposons est toujours plus précaire et continue de subir des coupes budgétaires toujours plus drastiques et des conditions de travail déshonorantes pour des fonctions pourtant essentielles. Cela aggravera également la situation de notre agriculture paysanne, fera peser la pression démographique sur des zones périurbaines déstabilisées, créant de nouvelles fractures sociales et détruisant des mémoires de territoire précieuses à tous et toutes. L’autoroute Toulouse-Castres, si elle se fait, ne sera donc qu’un long couloir de mort, long de 53km, avec pour seule intention un énième développement économique des plus riches, une fois de plus au dépend de toustes les autres.

Aujourd’hui encore, le chantier de l’A69 progresse à marche forcée, enfreignant continuellement les lois environnementales comme le montrent les 18 manquements déjà émis par l’OFB et la DDT, et alors même que le jugement du recours sur le fond n’a pas encore eu lieu. L’objectif : atteindre le cap de non retour sur les investissements déjà mis en place pour que le chantier ne puisse définitivement plus être stoppé, malgré l’illégalité et toutes les irrégularités observés depuis le début des travaux. C’est en effet pas moins de 20 actions juridiques et 4 mises en demeures qui pèsent aujourd’hui sur le concessionnaire.

Atsoca, et NGE, avec la complicité de l’état, nous mettent en danger, à court, moyen et long terme, et ne nous laissent pas d’autres choix que d’engager nos corps dans la lutte jusqu’à ce que cesse cette justice à deux vitesses. Cela dit, si l’évolution des lois facilitait de tels ravages, nous serions là avec d’autant plus de force et de détermination à nous y opposer. La ZAD s’oppose fermement à toutes les oppressions, qu’elles apparaissent au sein de nos luttes ou qu’elles viennent de militants pro A69 violents, des entreprises et financiers engagé.es dans le chantiers ou de la repression d’un Etat imposant sa violence autoproclamée légitime et qui tente par tous les moyens d’étouffer les voies alternatives et populaire comme “Une Autre Voie”.

Nous sommes conscient.es que le massacre à commencé, et pas qu’un peu ! Mais ça ne veut pas dire qu’il est trop tard. C’est d’ailleurs pour cela que nous resterons mobilisé.es et déterminé.es. Il ne s’agit pas seulement de résistance à l’avancée de la machine industrieuse et de ses coulées de bitume mortifère, il s’agit de reprendre chaque centimètre carré pour faire renaître des espaces populaires d’apprentissage social, technique et politique et poser les bases d’une société respectueuse de sa planète et de tout ce qu’elle abrite.

La ZAD et de nombreux autres collectifs travaillent en complémentarité depuis des mois, des années même, pour défendre les terres agricoles du Tarn, menacées par un projet écocide qui représente tous les travers d’une société qui ne nous offre aucune perspective d’avenir désirable. Nous réapprenons une coopération dénuée des enjeux de domination interpersonnels dans le seul but de nous opposer collectivement à des projets non consentis.

Pour cela la ZAD engage son temps et ses énergies à imaginer, tester et promouvoir d’autres imaginaires et d’autres futurs portant des valeurs de solidarité, d’apprentissage et d’inclusion. Nous faisons exister des cadres au sein desquels refléchir et déconstruire nos modes de pensées capitalistes, patriarcaux, compétitifs, excluant, et reconstruire nos conceptions sociales tant de l’être individuel que de la capacité à être et faire ensemble. Nous reprenons les espaces et le temps entre les interstices du capitalisme (encore lui !) pour faire exister d’autres mondes, en construction perpétuelle, faits de prises de decisions collectives, de transmissions, d’apprentissages et d’invention de moyen de résistance.

Ici nous devons recourir à ce qui s’apparente à de la violence, parce que l’urgence de la situation associé au mépris des autorités ne nous laisse pas d’autre voie. Cependant, est-ce vraiment de la violence quand elle est mesurée et ciblée aux infrastructures et machines destinées à la construction de l’autoroute ? Est elle comparable à la violence d’NGE, qui exproprie des centaines de personnes, qui terrasse plus de 400 hectares de terres agricoles, et 17 hectares de zones boisées ainsi que tout les écosystèmes qu’elles abritent. Ou de la violence de fanatiques, partisans de l’autoroute prêt à nous tuer par haine de personnes et de choses qui les dépassent. Les premières victimes du système.
Ou encore de la violence du monde tout les jours, les morts évitables, les famines, les guerres et tant d’autres.

Hier encore vers 3h du matin, 4 individus ont intentionnellement mis le feu à la haie qui borde le jardin et la maison du Verger, menaçant la famille avec un enfant de 4 ans et occupante de droit, ainsi que les zadistes cohabitant.es du lieux. Heureusement des personnes réveillées ont pues donner l’alerte, mettant en déroute les incendiaires et maîtrisant l’incendie avant même l’arrivée des pompiers. La famille à porté plainte, qui a été par la suite requalifié en tentative de meurtre. Nous leur apportons tout notre soutien dans cette épreuve.

Nous n’avons rien laché jusqu’ici. Nous avons expérimenté de multiples formes de solidarités avec les habitant.es, qu’il s’agisse de personnes expropriées ou victimes d’un tracé trop proche de leurs lieux de vie. Nous avons défendu les arbres menacés, répertorié les espèces animales et végétales protégées, cartographié les espaces voués à disparaitre. En bref, nous avons comblé les manquements de l’Etat qui depuis bien trop longtemps ne répond plus ni à ses propres règles ni à celles des instances internationales. S’associant à des magouilles économiques et politiques qu’il nie en bloc, alors même que les preuves sont évidentes, le gouvernement s’entête dans une politique austère. Il minimise la crise en cours, ignore l’opinion publique, le résultat d’élections qu’il a lui même déclenchées et continue à recruter toujours plus de policiers prêts à réprimer dans la violence la moindre opposition.

Tant qu’il y aura des brins d’herbes à défendre face à l’expansion exponentielle d’un béton prétendument bienfaiteur, notre lutte continuera de faire sens. Ni leurs lois, ni leurs armes, ni leur machines ne nous arrêteront et nous resterons prêt.es à essaimer de nouvelles ZAD à chaque fois qu’un nouveau projet immonde en créera la nécessité.

Nous sommes loin d’en avoir fini. Demain encore, nous serons là. Ou ailleurs. Peut importe. La terre est une zone à défendre et nous n’abandonnerons pas notre avenir au mains de nos bourreaux. ZAD PARTOUT !

Nous sommes conscients et conscientes que le saccage a commencé, mais nous resterons mobilisé.e.s et determiné.e.s. 

Il ne s’agit pas seulement de résistances à l’avancée du bitume, il s’agit de reprendre chaque cm^2 pour faire naitre des espaces d’apprentissage social, technique et politique.

Alors que la période légale de reprise des coupes d’arbres est imminente, la date est fixée au 1er septembre, nous restons determiné.e.s et présent.e.s sur le terrain afin de nous opposer à ce projet déraciné et destructeur, et ce jusqu’au dernier arbre, jusqu’au dernier oiseau, jusqu’à la dernière habitante… Et peut être même encore après tout cela. L’échéance approchant, nous n’avons d’autres choix que de multiplier les actions pour nous exprimer dans l’espoir d’un arrêt définitif du chantier, seule décision responsable et qui apaiserait les tensions qui ne cesse de croître.

Vendredi vers 3h du matin, la vigie de Bourg-Palette nous a réveillé en nous informant que le coffrage du pont en construction tout proche était en feu. Des flammes de plusieurs mètres de haut étaient visibles de très loin. Le feu a attiré quelques personnes qui se sont approchées. Un peu trop selon les gendarmes alors présents. Il y a eu quelques affrontements ce qui a eu pour effet de brièvement ralentir le travail des pompiers qui attendaient que la zone soit sécurisée pour arroser vainement un édifice déjà condamné. En aucun cas, les pompiers n’ont été la cible de jets de projectiles quels qu’ils soient.
Dimanche après midi, les gendarmes du PSIG mobilisés sur le chantier ont été mis en déroute et durent s’enfuir après des affrontements avec un petit groupe de personnes. Un peu plus tard, deux incendies se sont déclenchés non loin. D’une part, une voiture de police stationnée au commissariat du Dicosa et d’autre part, un container renfermant les outils du chantier. Par la suite, une dizaine de camions de gendarmes sont intervenus à la Cal’arbre. Après plusieurs heures, les gendarmes ont repoussé.es hors de la zone, et ont tout détruit sur leur passage. Tentes, cabanes, affaires personnelles, rien n’a été épargné. Les départs de feux se sont multipliés, certains juste sous les arbres occupés. Tout cela accompagné par les rire moqueurs des gendarmes, qui gazaient allègrement et sans distinction toutes les personnes présentes sur la zone, y compris celleux tentant d’éteindre les incendies. Il y a aussi eu des tirs tendus de lacrymogènes qui ont atteint une tour de Bourg-Palette, alors que plusieurs personnes se trouvaient à l’intérieur. Ils ont détruit à la masse puis à l’aide d’un camion, la vigie de l’entrée, où se trouvait une personne à environ 6 mètres de hauteur, surplombant une tour de palette. La chute aurait pu être mortelle si cette personne n’avait pas été secourue par des écureuil.es présent.es dans l’arbre le plus proche, nommé ironiquement l’Atoscarbre. Iels lui ont fourni un baudrier et quelques explications à la volée pour qu’elle puisse se mettre en sécurité sur une ligne de vie, avant de la hisser jusqu’à la cabane présente dans l’arbre.
Vers 22h, après avoir achevé leur journée habituelle de travail, c’est à dire violenter et tout détruire, les gendarmes sont partis, laissant la Cal’Arbre libre, le matériel dévasté, mais les zadistes debout !

C’est ce genre d’événement marquant qui nous fait dire que nous ne lâcherons rien et c’est avec cette volonté que nous appelons toustes nos camarades de luttes passées, présente, et à venir, à un rassemblement dès demain, mercredi 28 août à 18h30 sur la commune de Saïx, à la Cal”arbre, et tous les jours suivants. 

Nous réaffirmons encore une fois notre volonté de participer à faire vivre cette lutte de façon autonome mais en complémentarité, apprenante et créative, suprenante et sans relâche.

ZAD contre l’A69 et la métropolisation de la région.

Canal Telegram :www.t.me/InfoZAD_A69Cagnotte : https://opencollective.com/xr-toulouse-et-alentours/projects/soutiens-a-la-cremarbre

Le vent du boulet ! (édito du n° 169)

C’est une grande satisfaction, voire un soulagement : le pire – une majorité absolue au Rassemblement National – a été évité, grâce au Front Républicain et à un excellent report des voix de gauche (un peu moins des macronistes et autres partis de droite) sur les candidats encore en lice contre le R.N.

Dans le Tarn, alors que les 3 circonscriptions pouvaient tomber dans les bras du R.N., cela a permis l’élimination du candidat R.N., député sortant, dans la 1ère circonscription, la réélection de Karen Erodi (Nouveau Front Populaire) dans la 2ème, et la défaite de Guilhem Carayon dans la 3ème.

Cela étant, le vote du second tour a procédé, comme bien souvent, à une élimination, pas à un choix comme au 1er tour. Nous connaissons tous des électeurs de gauche ayant réussi, non sans grincements de dents, à voter Bonnecarrère ou Terlier, sans que cela soit pour autant un ralliement à leurs programmes de droite et antisociaux.

Cela dit aussi, celles et ceux qui sont persuadés pouvoir “changer la vie du peuple” par des élections, se retrouvent dans une situation peu enviable : pas de majorité absolue pour appliquer le programme annoncé lors de la campagne électorale !

Quelle possibilité pour éviter que le scrutin du 7 juillet ne soit pas effacé par des tractations et des alliances contre nature avec la macronie ou … pire encore, pour appliquer une partie (laquelle ?) seulement du programme annoncé lors du 1er tour ?

Les électrices et électeurs devront y veiller et ne pas s’endormir sur ce qui pourrait leur apparaître comme une “victoire”.

La politique étant “l’affaire de tous”, comme le proclament certains qui sont très vite les premiers à oublier leurs promesses, il faut que nous, simples citoyen-ne-s, les leur rappelions sans cesse. C’est plus difficile et contraignant que de déposer une fois de temps en temps un bulletin dans l’urne et ensuite “faire confiance” à celles et ceux qu’elles et ils ont élu-es. Mais c’est le prix à payer pour avoir une chance d’échapper à l’arrivée au pouvoir du R.N. dans un avenir plus ou moins proche.

Une seule solution : un 3ème tour social que l’on peut décliner sous plusieurs formes, dont, par exemple entre autres, la création par les citoyen-ne-s eux-mêmes de comités de résistance ou de vigilance antifascistes, des groupes de base apportant des propositions pluralistes, etc…!

Comité de rédaction

8 juillet 2024

Confluences 81vit grâce aux abonnements. . . Si le cœur vous en dit , n’hésitez pas à nous soutenir !

INFO : portes ouvertes au jardin des Ondines et au jardin d’Asterre à Crespinet

https://mail.google.com/mail/u/0?ui=2&ik=3b34eaa2f4&attid=0.1&permmsgid=msg-f:1806814044191731390&th=191317ccdf3c2ebe&view=att&disp=safe

Nous ouvrons nos jardins ce dimanche 11 août à 10h pour une joyeuse visite sous le soleil au lieu dit Longouyrou sur la commune de Crespinet. Les jardins se situent après le hameau au bout de la descente.

Programme : visites , discussions, auberge espagnole et rafraichissement possibles dans le Tarn.

Au plaisir de vous y voir.

Un reportage sur les piscines à GRAULHET. . .

https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/tarn/albi/les-territoires-ruraux-sont-un-peu-abandonnes-prives-de-piscine-pour-l-ete-un-collectif-d-habitants-se-mobilisent-3012785.html

Rectificatif

Une erreur s’est glissée dans le texte précédemment envoyé à propos  des piscines de Graulhet.
Le club avec lequel Graulhet pratiquait des échanges autour de la natation se situe en Bavière, soit en Allemagne, et non en Autriche contrairement à ce que j’ai dit à la journaliste de FR3.

je m’en excuse et vous prie de rectifier

JC

A GRAULHET, dans le bain ?

AVIS A LA POPULATION Graulhet le 18 juillet 2024
TOUS UNIS DANS LE MÊME BAIN

Peut-être devrions-nous dire “Tous unis hors du bain“, devant le fait
accompli. Cet été encore, il nous sera impossible de nous retrouver
tous ensemble dans la piscine extérieure de Graulhet, et d’y prendre
un bain public, ce qui nous désole.
Malgré nos demandes, le maire de Graulhet refuse de nous recevoir
pour que nous lui remettions les pétitions signées par environ 1600
personnes qui demandent la réouverture du bassin d’été.
Lors du dernier Conseil Municipal du 12 juillet 2024, la question de
la piscine a été évoquée
. Mais le projet est une démolition et une
reconstruction complètes des 2 piscines, avec un bassin de 25 m au
lieu du 50 m actuel, alors qu’il semble évident qu’il est moins onéreux
de réparer plutôt que de détruire avant de reconstruire : de toutes nos
demandes – dont quatre validées par la CADA (Commission d’Accès
aux Documents Administratifs) – seul le PV de la commission de
sécurité nous a été communiqué. Les différentes études et devis nous
ont donc été refusés ce qui prive tout le monde d’une possibilité de
comparaisons…
Pourtant le procès verbal de la commission de sécurité établi le 2 mars
2023 ne trouve aucun défaut majeur de structure des bassins.
Signalons que 2 projets de bassins nordiques de 50 m et de 25 m,
chauffés été comme hiver, ont été décidés, respectivement, pour Albi
et St Juéry. Par ailleurs nos voisins de Lisle-sur-Tarn pourront
bénéficier de la rénovation de leur piscine d’été, grâce à leur
municipalité, au Département, à la Région – dixit Claire Fita (article
du Tarn Libre du 28 06 2024) et à l’État bien que le bassin d’hiver
n’ait pu être réhabilité.
Cela nous laisse espérer la même démarche à Graulhet…


Collectif “Gardons Nos Piscines

– mail : nous_gardons_nos_piscines@net-c.com

Foire Bio, chez nos voisins audois . . . .

Tralala la la ! Vous entendez cette douce musique ?

C’est L’Aude a la Bio, organisée par Nature&Progrès Aude, qui approche et vous appelle à venir le 3 et 4 août au Parc de Couiza !

Visiteur·se et/ou bénévoles ? Venez assister aux conférences et spectacles ou donner un coup de main pour faire vivre cet événement !

Programmation 👉https://np11.org/laude-a-la-bio-4/

A diffuser largement autour de vous !