A69, une pause s’impose ! Les Déroutantes. . . .

LES DÉROUTANTES !


Du 25 au 27 avril prochain, nous vous invitons à nous rejoindre pour un week-end de rencontres et de tables rondes sur le sujet du béton, du bitume et de nos déplacements, avec pour objectif d’éclairer le système infrastructurel que nous combattons et de proposer d’autres manières d’habiter le monde.

Un week-end durant lequel nous prendrons le temps de réfléchir collectivement, pas seulement à la lutte contre l’A69 mais aussi à la bifurcation en cours, aux côtés de scientifiques, d’experts et de militants.es.

C’est dans le parc du Château de Scopont, dans le Tarn, et en pleine floraison des jacinthes de Rome, que nous vous convions, pour cet évènement que nous voulons joyeux et riche de nos échanges, ponctué de concerts, d’ateliers…

Nous vous en dirons plus très vite !
Alors, notez bien les dates ! 25-27/04

Réservation à cette adresse :

https://urls.fr/a7J0Px



Et si vous souhaitez être bénévoles lors de cet événement, écrivez-nous à les-deroutantes@riseup.com

Les collectifs
La Voie Est Libre,
La Déroute Des Routes
et les Sans Bitume

Balade naturaliste à Ambres (près de Lavaur-81)

Dans le cadre de la Semaine Pour les Alternatives aux Pesticides, Vaurais Nature Environnement propose une balade naturaliste sur la commune d’Ambres (animée par Philippe Durand) et un Ciné-Débat avec la projection du film « Prendre soin de la terre » de Guy Chapouillié, en présence du réalisateur.
Le programme de ce samedi 29 mars :
– 14h30 : Formation « S’organiser en syndicats d’habitants pour des campagnes vivantes »
– 16h30 : Balades naturaliste, animée par Philippe Durand.
– 18h00 : Apéro offert par la mairie d’Ambres (à la salle des fêtes du Grès)
– 19h00 : Repas partagé « table espagnole » (à la salle des fêtes du Grès)
– 20h30 : Ciné-débat « Prendre soin de la terre » en présence du réalisateur, Guy Chapouillié (à la salle des fêtes du Grès)

A69 : communiqué de presse de Me Lèguevaques

A69 – l’Etat se tire-t-il une balle dans le pied en communiquant sur la hausse des contributions imposée à la puissance publique pour réduire de 33 % le prix des péages tout en assurant une absence de risque à l’exploitant de l’autoroute « Pierre Fabre » ?
Par ce communiqué la Préfecture de la régions Occitanie annonce que « les tarifs pour les véhicules légers seront réduits de 33%, sur la section située entre les futurs diffuseurs de Villeneuve-les-Lavaur et de Soual-Est », afin de rendre « plus attractif encore les trajets sur l’autoroute ».
Une note de bas de page vient par ailleurs préciser les modalités de cette prise en charge, directement supportée par l’État et les collectivités publiques. Ce financement est réparti comme suit :
– 30,8% par l’État ;
– 20% par le Conseil régional Occitanie ;
– 13,8 % par le Conseil départemental du Tarn ;
– 6,7% par la communauté d’agglomération de Castres-Mazamet ;
– 2,2% par la communauté de communes de Sor et Agout.
Ces nouveaux concours vont être intégrés à la convention de concession par voie d’avenant et vont ce faisant s’ajouter aux 98,1 millions d’euros d’investissements publics déjà apportés, bouleversant ainsi « l’équilibre » économique initial de de la concession. Quand bien même elle serait réduite à « au moins 13% » à l’issue des dix premières années d’exploitation.
En effet, alors que dans sa version originale, la concession présentait d’ores et déjà un déséquilibre certain en faveur du concessionnaire, ce nouvel avenant ne va que renforcer cette asymétrie. En effet, la réduction du prix des péages ne sera effective que pour l’usager final. f.e concessionnaire quant à lui, sera assuré de percevoir le prix initialement prévu et cela dans des volumes plus élevés que lors des modélisations, l’objectif de cet accord étant de garantir l’attractivité de l’autoroute.
Cette garantie pour le concessionnaire constitue donc un effacement total du risque supporté par ce dernier.
Dans le cadre de la procédure pendante devant le CONSEIL D’ÉTAT sur les conditions anormales du contrat de concession, les associations AGIR POUR L’ENVIRONNEMENT, ATTAC TARN, et LES VALLONS, avaient déjà signalé cette entorse flagrante au droit français et européen.
En réponse, l’État oser affirmer que le transfert du risque dans le présent projet était effectif car « les hypothèses de coûts et de trafic du concessionnaire sont optimistes. Ainsi ce dernier prend le risque que les coûts opérationnels soient plus élevés que
prévus et/ou que le trafic, et donc les recettes soient plus faibles que prévus, en particulier ai ce qui concerne le trafic à la mise en service et la croissance annuelle du trafic de véhicules légers » (sic !)

Au surplus, si les concours publics augmentent de façon considérable, les autres éléments substantiels de la convention, et notamment la durée du contrat, restent quant à eux inchangés, contribuant là encore à assurer au concessionnaire un amortissement rapide de ses investissements et par-là même une rentabilité exponentielle de la concession.
Partant, ce nouveau concours public constitue une aide d’État, la Cour de justice de l’Union européenne a retenu une conception extensive de cette notion. En effet, selon celle-ci afin d’« d’apprécier s’ il y a aide, il conviait /…/ de déterminer si l’entreprise bénéficiaire reçoit un avantage économique, quelle n’aurait pas obtenu dans des conditions de marché. ».
En l’espèce, l’intervention des pouvoirs publics a pour objet d’encourager la fréquentation de l’autoroute lors de son ouverture aux usagers. A cet égard, la Cour a ainsi pu reconnaître que toute aide destinée à encourager une production constituait une aide d’État.
Par conséquent, les demandeurs sollicitent du CONSEIL D’ÉTAT la reconnaissance que le risque supporté par le concessionnaire n’est désormais que fictif et que la durée du contrat est de nature à permettre à celui-ci de dégager rapidement des profits colossaux.
Ce qui constitue une illégalité manifeste devant conduire à annuler le contrat de concession.

Paris-Toulouse, le 17 février 2025

Christophe Lèguevaques Avocat au barreau de Paris, Docteur en droit.

Il y a des gens qui n’apprennent jamais rien !

Sivens 2014 : au printemps, la tension monte autour du projet de barrage, vieux de 30 ans, alors que le CNPN a donné un avis défavorable. Les collectifs citoyens se mobilisent, les compétences s’affûtent. Eté 2014, le financement européen du projet ne sera pas accordé, car la règlementation n’est pas respectée. Abandon ? Mais non ! 1er septembre 2014, les engins entrent en action pour couper les arbres. On a oublié l’autorisation de défrichement ? Pas grave, on la fait après coup… La mobilisation enfle, les zadistes occupent le site, les violences policières se déchainent, les médias
accourent. Dans la nuit du 25 au 26 octobre Rémi Fraisse est assassiné par les forces de l’ordre. Il faudra 10 ans de bataille juridique pour que l’Etat Français soit enfin condamné par la Cour européenne des Droits de l’homme pour violation du droit à la vie.
Le chantier est arrêté. En 2016, l’autorisation de défrichement, la dérogation à la destruction d’espèces protégées, la déclaration d’intérêt général sont cassées par le Tribunal Administratif. L’Etat est condamné pour faute en 2020.
Malgré la mise en place du projet de territoire, 10 ans après, il n’y a toujours rien de réalisé.
Conclusion : a-t-on fait une erreur en poussant un projet obsolète, mal monté, décrié par les instances nationales, rejeté par les citoyens ? Non ! l’erreur des décideurs a été d’abandonner le projet !


A69 2022 : la tension monte depuis des années autour de ce projet vieux de 30 ans. Les instances nationales (Commissariat Général à l’Investissement, Haute Autorité Environnementale, CNPN) ont donné des avis défavorables sur ce projet mal ficelé, aux gains et évaluations de trafic surestimées, et qui ne remplit pas les conditions d’une Raison Impérative d’Intérêt Public Majeur (RIIPM).
1er mars 2023 : après une enquête publique environnementale qui recueille 90% d’avis négatifs, l’autorisation environnementale est signée, les travaux démarrent. Les premiers écureuils entrent en action. Les collectifs d’opposants réunissent le 22 avril 8000 manifestants pacifiques. Le camping des platanes à Vendine prospère, avant d’être saccagé par les pelles mécaniques. Les référés des
opposants sont systématiquement rejetés par les tribunaux.
1er septembre 2023 à 0h, les platanes de Vendine tombent, puis les arbres de la Bourrelié, du Bernazobre… La communauté scientifique entre dans la danse, dénonçant les aberrations du projet.
40 jours de grève de la faim ont failli faire craquer Clément Beaune, alors ministre des transports.
Arrêter le projet ? Surtout, ne pas reproduire les erreurs de Notre Dame des Landes et de Sivens ! On continue, on accélère, la justice pliera devant le fait accompli !
A la Crémade le 22 octobre, les gendarmes chargent et interrompent la conférence des scientifiques.
Février mars 2024 : La Crémarbre, malgré son statut de zone environnementale protégée, sera le laboratoire de l’attrition pour les fauteurs de l’ordre, en dépit de l’intervention et des conclusions de Michel Forst, rapporteur spécial des Nations Unies pour les défenseurs de l’environnement. Et on continue à la Cal’Arbre, aux Vergers chez Alexandra. La CNAMO se déchaine et la répression explose.
On accélère encore, on avance les travaux à marche forcée. Pourtant, le chantier accumule les retards et les irrégularités se multiplient.
Du côté des opposants, les réseaux se tissent, les compétences s’aiguisent, la lutte prend des formes de plus en plus innovantes, la médiatisation s’internationalise…
21 novembre 2024 : le rapporteur public demande l’annulation totale ? Pas grave, on accélère encore !
27 février : le tribunal administratif annule l’autorisation et suspend les travaux !
Conclusion : a-t-on fait une erreur en poussant un projet obsolète, mal monté, etc.? Non  On dénonce une situation ubuesque, on demande un sursis à exécution et on fait appel !
Décidément, il y a des gens qui n’apprennent jamais rien !

Jean Luc Hervé

Solidarité “Ma ferme sur un fil !” Isabelle et Christophe

(lien vers cagnotte en bas de page ! )

Porte-parole de la Confédération Paysanne du Tarn pendant de nombreuses années, Christophe et son épouse Isabelle ont besoin de votre soutien. La malchance s’acharne sur eux. Une cagnotte a été lancée pour leur venir en aide.

Des années que nous nous battons contre une série de malchances… Cette année une de plus, la fièvre catarrhale a décimé une énorme partie de notre troupeau.

Une de plus, l’aorte près du cœur de Christophe doit être opérée.

UNE DE TROP ! Nous ne pouvons plus faire face. HELP !

Je pleure aujourd’hui…, balayée d’un souffle…J’ai le vertige de tout perdre. Pourtant il n’y a aucune faute que celle d’un corps qui ne peut plus.

Je me remets trop doucement depuis 5 ans d’une maladie rare, il y a quelques jours notre vie se disloque, Christophe mon mari doit subir une opération à cœur ouvert en urgence.

La ferme a perdu son capitaine pour quelques mois… L’embauche d’un salarié semaine et week-end est obligatoire avec un financement aléatoire. Les brebis ne peuvent pas rester orphelines…

Nous devons trouver de l’aide, nous avons besoin d’un peu de vous.

Nous avons toujours l’envie mais plus l’argent, les crédits nous ont rattrapés. Je hurle de ne plus y arriver.

Alors je m’accroche à l’espoir de vous… On m’a soufflé qu’une cagnotte en ligne pourrait nous aider, qu’il fallait juste ranger sa fierté.

Je vous confie ma ferme pour la sauver , nous permettre de trouver le temps de nous soigner, pour continuer, remonter le troupeau décimé par la fièvre catarrhale, acheter de jeunes vaches, payer nos crédits à cours terme.
Compenser aussi la perte du revenu de mes activités, le Food truck, les plats cuisinés, les jus de pommes qui couvraient 30% de notre chiffre , le tout plombé par l’augmentation du gasoil, de l’atelier de découpe, des céréales, des consommables, et j’en oublie, qui ne peut être rattrapée par une augmentation galopante des tarifs.

25 ans de passion déterminée qui nous porte. Dans 3 ans nos crédits s’allègent et pour tenir on a vraiment besoin de vous.

Isabelle et Christophe, les 2 bergers.

Il était une fois,

Tous les jours debout pour le plaisir de vos bouches,

Tous les jours debout pour des moments heureux autour de la table,

Tous les jours debout pour entendre vos familles claquant des rires , la fourchette avide de bon l’air nimbé de joies faciles et légères où le fumet de nos viandes respirent nos prairies.

Le fondant, le délicat murmurent l’agneau parfum montagne saveur liberté… Mais surtout, heureux d’être là quelque part à vos côtés.

C’est cette image de vous qui fait avancer, qui accompagne les gestes sans cesse répétés jusqu’à la lune.

Le corps se rebelle mais  votre enthousiasme dope le quotidien.

La bonne bouffe flotte sur l’horizon des fatigues accumulés. Vos sourires deviennent la vague puissante de notre ardeur qui efface les rudesses du soleil, du vent et du froid.

Je vous souffle mon ciel, ma lune et mes étoiles, Isabelle… la bergère.

https://www.leetchi.com/fr/c/ma-ferme-sur-le-fil-1627874

Appel à Solidarité afghanes. . .

X. . ., est un Afghan de 40 ans, que nous avions hébergé il y a quelques années, et qui, avec la collecte que nous avions initiée, avait pu faire venir ses 6 enfants et son épouse grâce à la générosité de personnes touchées par leur histoire.

La semaine dernière, la famille de X, vivant dans un petit village en Afghanistan a été exterminée par les talibans.

Ceux-ci ont pénétré chez eux et ont ouvert le feu sur toutes les personnes, adultes et enfants, qui se trouvaient à l’intérieur. Dix personnes sont tombées sous les balles. . . Une des victimes attendait des triplés donc cette tuerie a en réalité fait 13 victimes.

Il n’y a eu que 3 rescapées dans cette tuerie. Une soeur de X et une de ses filles, se tenaient dans la pièce voisine au moment de l’arrivée des talibans. Quand elles ont entendu les coups de feu, elles se sont cachées sous le lit. Une autre de ses filles qui se trouvait dans la pièce où se passait le drame est tombée à terre sous le poids de quelques victimes qui l’ont recouverte et rendue invisible aux yeux des talibans. Cette enfant est restée dans cette position, sans bouger, jusqu’à ce que sa mère et sa sœur soient sorties de leur cachette, après le départ des talibans.

Bien sur, elles ne peuvent rester en Afghanistan. Leur souhait est de venir en France , auprès de son frère

Maître Jessica Lescs, avocate renommée en matière de droit pénal international, droits de l’homme, droit d’asile et de droit des étrangers, devant les juridictions nationales et internationales, s’occupe de son cas

Comme, avant cette tuerie, elle a été frappée violemment et à plusieurs reprises par les talibans, elle a pu obtenir un certificat médical au vu de la gravité de ses blessures. Celles-ci

ne pouvant être soignées en Afghanistan, un passeport lui est octroyé d’office, ainsi qu’à ses enfants, pour aller se faire soigner à l’étranger.

Il restera à ses frais, le paiement de 3 visas et DE 3 places dans un vol pour la France.

X ayant payé les obsèques (13 cercueils) n’a pas les moyens financiers de payer ni les visas ni les billets d’avion ,

Nous évaluons le montant des frais à entre 6 et 7000 €

Merci beaucoup pour votre aide.

MRAP- RESF Castres

Chèques  à l’ordre de MRAP/RESF, à envoyer à :

MRAP , Maison des Associations,

Place du 1er Mai

81700 – Castres

Conférence Bernard DREANO “Quelle paix en Ukraine ? ” Castres 25 février.

À l’invitation de Confluences 81, 25 personnes ont assisté à la conférence de Bernard Dreano : “Quelle paix pour l’Ukraine?”, organisée par le RESU*, groupe sud du Tarn

L’initiative était soutenue par LFI Castres, PS Castres, les Écologistes, PEPS, Alternative et Autogestion, GES, NPA/A sud Tarn, ATTAC. 

Bernard DREANO a expliqué les racines de la guerre, en particulier la manière dont l’Ukraine s’est constituée depuis le XVIIIº siècle comme une nation à travers de nombreuses épreuves historiques (les deux guerres mondiales, le stalinisme…) et la volonté de Poutine de l’englober dans son projet impérialiste.

Il s’est fait l’écho de la société civile et de sa foisonnante activité politique, sociale et associative. Sans cacher les contradictions et les difficultés liées au conflit. 3 années de guerre pèsent lourdement sur la population mais les insultes et les manœuvres de Trump renforcent leur volonté de ne pas céder.

Il est difficile aujourd’hui de prévoir les conditions d’un cessez-le-feu mais il est clair qu’il n’y aura pas de paix juste et durable si les troupes russes ne se retirent pas et si l’Ukraine est écartée des négociations de paix.

Le débat de la soirée – ouvert et sérieux – prouve que l’inquiétude sur le sort du peuple ukrainien et la nécessité d’un fort soutien sont partagées.


Nous allons poursuivre notre activité sur Castres et ses environs !

Pour nous contacter (et nous rejoindre ?) : 06 72 07 16 74 ou 06 63 68 22 86 (Contacts RESU sud du Tarn )

RESU Sud du Tarn

Pour présenter rapidement le RESU (Réseau Européen de Soutien à l’Ukraine et contre la guerre), nous publions l’appel constitutif (mars 2022) :

Nous, collectifs de mouvements sociaux, syndicats, organisations et partis, d’Europe de l’Est et de l’Ouest, opposé-es à la guerre et à tous les néo-colonialismes dans le monde, voulons construire un réseau par en bas, indépendant de tout gouvernement.

Voici le lien vers le formulaire d’adhésion : https://framaforms.org/membership-form-for-the-european-network-solidarity-with-ukraine-and-against-war-1647460588

POUR

1. La défense d’une Ukraine indépendante et démocratique !

2. Le retrait immédiat des troupes russes de tout le territoire ukrainien. L’arrêt de la menace nucléaire que constitue la mise en état d’alerte des armes nucléaires russes et le bombardement des centrales ukrainiennes !

3. Le soutien à la résistance (armée et non armée) du peuple ukrainien dans sa diversité, en défense de son droit à l’autodétermination

4. L’annulation de la dette extérieure de l’Ukraine !

5. L’accueil sans discrimination de tous les réfugié-e-s – d’Ukraine et d’ailleurs !

6. Le soutien au mouvement anti-guerre et démocratique en Russie et la garantie du statut de réfugié politique aux opposants à Poutine et aux soldats russes qui désertent !

7. La saisie des biens des membres du gouvernement, des hauts fonctionnaires et des oligarques russes en Europe et dans le monde ; et des sanctions financières et économiques – en protégeant les populations défavorisées de leurs effets.

Au-delà, nous luttons aussi, en lien avec les courants qui partagent ces objectifs en Ukraine et en Russie :

8. Pour un désarmement nucléaire global. Contre l’escalade militaire et la militarisation des esprits.

9. Pour le démantèlement des blocs militaires

10. Pour que toute aide à l’Ukraine échappe à l’emprise et aux conditions d’austérité du FMI ou de l’UE

11. Contre le productivisme, le militarisme et la concurrence impérialiste pour la puissance et le profit qui détruisent notre environnement et nos droits sociaux et démocratiques.

A l’issue de la première guerre mondiale, l’OIT a été fondée sur une affirmation de portée universelle : « Une paix universelle et durable ne peut être fondée que sur la justice sociale ». Aujourd’hui, nous devons ajouter la justice environnementale et l’état de droit : nous luttons pour la paix et l’égalité, les libertés démocratiques, la justice sociale et climatique, par la coopération et la solidarité entre les peuples.

“Un Paese de Resistenza” : Ciné-Débat à Gaillac (81)

La section du Tarn de la LDH a l’honneur de recevoir la réalisatrice SHU AIELLO

(qui a coréalisé le film avec Catherine CATELLA) pour présenter et 

animer “Un Paese di Resistenza” à Gaillac.

Cet important documentaire, diffusé à la salle Arcé à Albi en janvier, sera également

à l’affiche du CGR de Castres le 20 mars.

Merci d’être nombreux et de communiquer cette information à vos contacts, relations, adhérents.