Castres : “Qu’est-ce qu’on attend ?”

124-page-8-logo-transition-citoyenneUn film de Marie Monique Robin. Au Lido à Castres le 24 février à 20 h. Le prix de la séance sera de 6 €.
Marie Monique Robin est journaliste (Prix Albert Londres en 95) et réalisatrice.
Elle a réalisé entre autres, plusieurs film à succès comme « Le monde selon Monsanto », « Notre poison quotidien » et en 2012, « Les moissons du futur » tous passés en salle et sur Arte. Elle est très souvent interviewée sur les médias nationaux.

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L’utopie, y a que ça qui m’intéresse !

Faire part mariageEn guise d’introduction, j’aimerais savoir ce que pensent nos lecteurs et lectrices sur l’utopie de vivre dans un monde débarrassé de l’argent.

C’est à un authentique combat (pacifique) auquel je vous invite. Un combat contre soi-même. Puis le susciter chez les autres.

Avons-nous progresser depuis Diogène et sa lanterne : « je cherche un homme » ?

Alors… Eh bien, il y a les municipales : « aux urnes citoyen-ne-s ! »

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Un salaire à vie

106 page 5 Friot CastresSelon Bernard Friot, invité à Castres le 10 décembre dernier par un collectif d’organisations politiques et syndicales, RIEN DE PLUS FACILE !

Il suffit de supprimer les dividendes, de faire des travailleurs les propriétaires de leur entreprise, d’augmenter le taux des cotisations sociales et les salaires.

Il suffit de sortir de l’aliénation qui consiste à penser que les fonctionnaires, les femmes « au foyer » et les retraités ont des activités utiles, mais non productives. C’est faux ! s’exclame Friot.

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Une idée de révolution universelle pacifique

102 page 3 Travailler nuit gravementA brûle-pourpoint, un camarade des Alters, lors d’une communication hors de toute réunion politique a dit : « C’est pas vraiment un projet, c’est une idée qui m’a jailli dans l’esprit. Tu me diras ce que tu en penses. La pire des barbaries, c’est pas le fric ? N’est-il pas urgent de le supprimer ? Toute personne ayant un emploi, quel qu’il soit, ne serait pas rémunérée, mais en compensation aurait l’accès forcément gratos à tous les besoins vitaux. »

-Magnifique, camarade, tu dépasses Thomas More dans son mythe « Utopia » à la fin du XVème siècle. Ton idée est bouleversante au premier degré du terme, mais as-tu établi une liste des fameux « besoins vitaux » ?

-Bien sûr que non, il ne s’agit que d’une idée. Bien évidemment, j’ai une liste basique : chacun(e) aurait droit aux soins de santé selon la science médicale actuelle, un toit, une alimentation suffisante, l’instruction obligatoire… Il s’agit d’une liste tout à fait basique. C’est une idée, certes, mais j’y tiens au point où je voudrais en faire un projet. Il est bien certain que nos arrière-petits-enfants ne seront pas parvenus au top. Mais si toutefois d’autres pensent que cette idée peut se traduire par une construction d’un projet, il faut commencer hic et nunc (ici et maintenant). Je compte sur toi pour étayer ces besoins vitaux sur des valeurs bien supérieures. »

Mes chers camarades, si comme moi vous adhérez à un projet d’un tel idéal, manifestez-vous en élargissant ces besoins vitaux, comme je vais essayer de le faire moi-même.

Hubert GOURG

Confluences n° 102