Baraque 21, association culturelle d’éducation populaire, a notamment pour but de porter dans l’espace public la parole, les écrits et les créations des habitants de la cité, qu’ils soient artistes ou citoyens désireux de faire partager leur expression.
C’est pourquoi, dans ce contexte particulier, nous avons eu à cœur de porter un projet collectif. Nous avons relancé la réalisation d’un recueil, le “Cri Feutré”, qui regroupe des textes et illustrations d’une vingtaine d’artistes auteurs et illustrateurs, recueil de 64 pages. L’ouvrage est en phase finale et nous allons bientôt lancer l’impression.
Nous souhaitons estimer le volume du tirage chez l’imprimeur aussi nous lançons dès aujourd’hui des pré-commandes. Le tarif est de 5€ l’unité (+ frais de port éventuels), volontairement accessible (il correspond aux seuls frais d’impression).
Souscription de parts sociales : La SCIC Terres Citoyennes fait son “Black Radis” jusqu’au 31.12.2020 (- 25% en réduction d’impôt sur le revenu) ! La 1ère campagne de collecte d’épargne citoyenne, lancée en juin 2020, avance… au 30 novembre 2020, plus de 90 sociétaires ont apporté plus de 210 000 € (dont 185 000 € de parts sociales et 25 000 € d’avances de trésorerie). C’est la dernière ligne droite pour les souscriptions 2020, et pour bénéficier de la réduction d’impôt sur le revenu, à hauteur de 25% du montant souscrit jusqu’au 31.12.2020 en cas d’engagement à conserver ses parts pendant 7 ans. Pour toutes les infos et pour souscrire, c’est ici.
Jeudi 3 décembre à 13h30 au TGI de PARIS – Important procès :Enedis contre Stéphane Lhomme (Refus Linky Gazpar)
Bonjour à toutes et tous,
Ce jeudi aura lieu le procès que me fait Enedis sur la question des incendies causés par le Linky, cf ci-dessous mon communiqué. Depuis le début de la procédure fin 2018, il n’était question que de l’accusation selon laquelle, après un incendie, Enedis nettoie tout et, du coup, enlève les preuves. Or, à réception du gros dossier d’Enedis ce matin (à 3 jours de l’audience !), la question est abordée de façon beaucoup plus large, par exemple avec le drame de Laxou (cf le dossier complethttp://refus.linky.gazpar.free.fr/incendies-linky.htm).
Je transmets cet appel et en même temps en lance un : Que faisons-nous et que pouvons-nous faire dans le Tarn à l’occasion de la marche des solidarités du 18 décembre ? – action départementale ? -Actions décentralisées sur Albi ? Castres ? Graulhet ? Gaillac ? . . . – actions à l’initiative des collectifs et association de soutien aux personnes exilées, avec le soutien d’associations, de syndicats et de mouvements et partis politiques ? – actions coorganisées ensemble
Voici un appel à dons en soutien à mes ami-e-s Lyly et Adim:
J’ai rencontré Lyly lors de mon voyage en Kabylie en 2015. Elle vit à Bejaia. Militante pour les droits humains en général, pour les droits des femmes en particulier, Lyly est déterminée dans sa lutte pour la dignité et la liberté des peuples. J’ai été vraiment touché et impressionné de voir comment, malgré le contexte sociétal algérien extrêmement répressif, vraiment dangereux, quasi totalitaire sur certains aspects, Lyly, avec d’autres, organisait des évènements pour informer, faire réfléchir, essayant de se faufiler dans les failles du système pour y semer l’espoir et l’émancipation. Vous vous souvenez peut-être d’un premier appel à soutien que j’avais envoyé en 2016 alors que son père avait été condamné à 5 ans de prison ferme pour avoir critiqué l’islam sur son facebook (voir https://www.lematindz.net/news/21632-amnesty-international-appelle-les-autorites-algeriennes-a-liberer-slimane-bouhafs.html ). Il a finalement été libéré après deux ans, grâce entre autres à la pression d’amnesty international, mais cet enfermement (et les conditions de détention) ont eu raison de sa santé mentale. Sa réputation lui a rendu quasi impossible la vie en Algérie. Il s’est réfugié en Tunisie. Depuis 2016, Lyly prend seule en charge les besoins financiers de sa famille. Elle a dû travailler en même temps qu’elle étudiait le journalisme et se formait à la défense des droits humains. Il y a maintenant deux ans (je crois) elle a ouvert une boutique de gaufres et autres desserts avec son compagnon Adim. Certains de vous avaient contribué à leur payer un gaufrier professionnel. La boutique est bien placée dans Bejaia et commençait à fonctionner assez bien jusqu’au confinement, ce qui leur permettait de payer le loyer, les charges et les derniers mois de tirer un petit revenu. Le confinement qui dure depuis le printemps en Algérie a mis leur activité en suspens et illes ont accumulé un énorme retard dans le paiement du loyer. Illes se sont débrouillé-e-s tant bien que mal pour payer la moitié de leur dette mais il leur reste 500€ à payer. C’est une somme considérable pour elleux! D’autres personnes à l’aise financièrement ont des vues sur ce local et ont promis au propriétaire un loyer bien plus élevé et deux ans d’avance sur le paiement s’il leur louait. Et du coup, il met une grosse pression sur Lyly et Adim et leur a donné jusqu’à ce dimanche (22 novembre) pour payer, sans quoi il a promis de les expulser. Je ne connais pas le détail des lois algériennes quant aux questions d’impayés et d’expulsion, mais je sais que le propriétaire pourrait user en toute impunité de moyens violents.
J’en appelle à votre solidarité! Je demande à celleux qui peuvent de me faire un virement ou éventuellement de m’envoyer un chèque, même de 5€. C’est la somme de nos contributions qui fera le travail. Vu le peu de temps dont nous disposons, je t’invite à me faire savoir par mail:
1- si tu veux participer, et si oui pour quelle somme. Je te fais confiance et ferai l’avance des virements que je n’ai pas encore reçus et chèques pas encore encaissés.
2- au cas où on atteindrait les 500€ nécessaires pour le paiement du loyer, dis-moi:
– si tu préfères annuler ton don (auquel cas, il serait plus simple que tu m’envoies un chèque que je n’encaisserai qu’en cas de besoin), ou – si tu veux quand-même maintenir ton don (qui servira à leur payer un nouveau gaufrier dont illes ont besoin et qu’illes m’avaient demandé de leur trouver d’occasion avant le confinement ~200 à 300€). Et si vraiment il y avait plus que ce qu’il faut pour le loyer et le gaufrier, je reverserais le surplus à l’association gaillacoise “L’antre d’eux” qui fait de l’accueil et du soutien aux personnes migrantes et qui est en difficultés financières.
Dans tous les cas, je m’engage à tenir informées toutes les personnes qui contribueront ainsi que toutes celles qui me le demanderont, de la somme récoltée, des détails de sa destination et des nouvelles de Lyly et Adim.
Merci d’avoir eu la patience de lire ce message jusque-là! Merci d’avance à tou-te-s celleux qui contribueront! Et bien sûr, je sais que les temps sont durs pour beaucoup d’entre nous, alors sens-toi à l’aise de ne rien donner sans te justifier!!
Des bises à toutes et tous! Au plaisir de se voir!
Sylvain
Je joins mon RIB en pièce jointe. Mon adresse pour l’envoi des chèques (ou en mains propres pour celleux que je croise): Sylvain Beretz 12 avenue Capin 82140 Saint-Antonin-Noble-Val
Ce qu’il faut retenir : La France est le dernier État européen à pratiquer la chasse à la glu En juillet 2020, la commission de l’Union Européenne avait fait pression sur la France afin de réexaminer les méthodes de chasse pratiquées Fin août 2020, Emmanuel Macron annonce la suspension de la pratique de la chasse à la glu Fin novembre, l’avocate générale de la Cour de Justice de l’Union Européenne annonce qu’elle peut être autorisée avec certaines contraintes et que cette pratique peut être compatible avec la directive oiseaux, directive prise par l’UE afin de préserver certaines espèces d’oiseaux… Des paroles mais peu d’actes ! Le 27 août dernier, l’Elysée avait annoncé la suspension de la chasse à la glu en France, méthode barbare et controversée que seule la France pratique encore, dans l’attente de la décision de la Cour de Justice de l’Union Européenne.
Nous pensions, après des années, avoir enfin obtenu une avancée, un espoir de voir cette pratique interdite.
C’était sans compter sur l’annonce de Juliane Kokott, avocate générale de la Cour de Justice de l’Union Européenne.
Cette dernière vient d’annoncer que la chasse à la glu pouvait être pratiquée… avec restrictions ! Pour qui nous prennent-ils ? Que signifie “avec restrictions” ? Selon Juliane Kokott, la chasse à la glu peut être acceptée si elle est suffisamment sélective et se contente de prélever une petite quantité d’espèces d’oiseaux concernées et que cette chasse se déroule à des fins récréatives avec une importance culturelle.
On marche sur la tête ! La torture serait-elle donc devenue un hobby culturel ? Comment pouvons-nous avancer dans la protection de la biodiversité si la justice plie face aux lobbys. Il reste un espoir, nous n’avons pas dit notre dernier mot ! Le combat n’est pas perdu ! La Cour de justice de l’Union Européenne choisira dans les prochains mois de suivre ou non l’avis de son avocate générale.
Aujourd’hui il est impossible de prouver les fins récréatives de cette pratique barbare ni même si celle-ci respecte les restrictions souhaitées par l’Union Européenne.
C’est le moment d’en tirer parti pour obtenir l’interdiction totale de la chasse à la glu !
Mon adresse pour l’envoi des chèques (ou en mains propres pour celleux que je croise): Sylvain Beretz 12 avenue Capin 82140 Saint-Antonin-Noble-Val
L’équipe du Café Plùm est ravie de pouvoir vous accueillir de nouveau dans la librairie à partir de samedi 28 novembre — c’est demain ! — et ensuite le mercredi, samedi et dimanche de 15h à 19h. Nous restons bien sûr à votre disposition pour toute question et commande, soit par mail (librairie.plum@gmail.com) soit par téléphone (05 63 70 83 30 — uniquement pendant les horaires d’ouverture). Si les sérigraphies qui ont été exposées sur les murs du café ces derniers temps vous ont tentées, vous pouvez encore vous en procurer à la librairie ce week-end. Après, merci de contacter Tom et Léo à tomelo.serigraphie@gmail.com. En espérant vous voir nombreux.ses (mais par groupe de quatre… pas plus dans la librairie en même temps !) en cette période de Noël. Les conditions sanitaires nécessaires sont mises en œuvre pour vous recevoir dans la joie et la bonne humeur !
Depuis plus de 12 ans, APIFERA œuvre pour la connaissance et la préservation de la Nature.
Comme vous le savez certainement, l’association ne perçoit aucune subvention et vit uniquement des adhésions et des dons.
L’annulation de toutes les festivités et salons, des sorties naturalistes due à la crise sanitaire du Covid nous a empêché de participer aux actions de promotions qui nous permettent traditionnellement d’accueillir de nouveaux adhérents, de recueillir des dons, de vendre des photos etc. …
Cher·e·s Ami·e·s, À l’occasion de la Journée Internationale des droits de l’enfant, La Cimade lance une campagne pour dénoncer l’intolérable. Privé·e·s du droit de vivre avec leurs parents, comme Kouamé, du droit d’être scolarisé·e·s, hébergé·e·s, soigné·e·s, en France, les enfants étranger·e·s ne bénéficient pas de la même protection que les autres enfants. N’est-ce pas révoltant ? Pourtant, notre pays a signé la Convention internationale des droits de l’enfant, adoptée en 1989 par les Nations Unies et engageant les États signataires à garantir les droits des enfants sans distinction. Merci de vous mobiliser à nos côtés, avec et pour les enfants exilé·e·s.