vous trouverez ci-dessous des précisions sur l’appel à rassemblement contre le délit de solidarité.Le 04 janvier dernier, on traduisait la solidarité en justice : Cédric Herrou, habitant de la vallée de Roya, comparaissait devant la tribunal de Nice pour l’aide qu’il apporte aux migrants. Il encourt 8 mois de prison avec sursis, le jugement sera rendu le 10 février.
Cédric Herrou n’est pas un cas isolé… L’état d’urgence s’est accompagné d’une recrudescence des cas où la solidarité est tenue pour un délit. Venir en aide à des personnes en situation de grande précarité, victimes de décisions dangereuses et inhumaines est traité comme une faute qui vaut à des militants associatifs d’être traduits en justice.