L’Actu
En avant-première…
Dans le numéro 113 (mars 2015) de Confluences 81, vous trouverez une page et demie de textes sur le film Timbuktu.
Cinq rédacteurs Tarnais y expliquent leur emballement pour ce film. Juste deux de moins que le nombre de césars reçus hier soir 20 février… mais écrits bien avant !
N.B. : le numéro 113 sera envoyé par la poste aux abonné-e-s dès le 2 mars… Comment s’abonner ? C’est très simple : https://confluences81.fr/sabonner/
Albi : Association Jaurès Espace Tarn
AJET la saison 2014-2015 se poursuit :
prochaine conférence-débat : MARDI 10 mars 2015, “Pensées sur les chemins de France” par Axel Kahn. http://www.ajet.fr/index.php/suivante
Castres : de la part de Gisèle !
BON ANNIVERSAIRE ! On fait la fête ensemble !
TROP BIEN !
“Délinquante” le 7 mars au Bolegason !
Des étudiants de l’IUT en partenariat avec le Planning Familial du Tarn vous invitent à une soirée organisée par Lo Bolegason pour fêter les 10 ans du groupe Délinquante. Ambiance festive et musicale garantie !
Pensez à Réserver…
Une première à Castres ?
Samedi 15 février 2015, 10 h 30, Place de l’Albinque (ex-place Pierre Fabre ? !) : plusieurs centaines de salariés du groupe Pierre Fabre se sont rassemblés pour protester contre le plan social envisagé (dont la traduction concrète serait 551 licenciements). Il se murmure que ce plan social pourrait être effectif dès le mois de mai prochain.
Sivens, c’est la guerre ?
Ce texte de Jean-Claude Z. commence à circuler sur les réseaux ce jour 1er février 2015
Cher-e-s ami-e-s des zones humides,
Des petits commandos de PRO-barrages ont interdit l’accès à la ZAD de SIVENS au public intéressé par des conférences sur l’importance des zones humides .
Les deux routes d’accès étaient barrées par une quinzaine d’excités à chaque point tandis que d’autres patrouillaient en quads dans la forêt de SIVENS pour dissuader d’éventuels marcheurs.
Pire, sous l’oeil bienveillant des garde-mobiles, des véhicules des personnes qui se rendaient à ces conférences ont été dégradés par des individus surexcités et pro barrages. Les insultes et les menaces étaient le seul apport de ces virulents au débat contradictoire.
D’autres pandores ont pénétré sur le lieu PRIVE de la conférence, en uniforme, sous un prétexte futile ; l’un d’entre eux a menacé d’un taser l’un des participants ayant réussi à passer.
Se passer de patron, chiche !
Retenez bien ce titre… et la date du 26 septembre 2015. Cochez-la sur votre agenda : ce sera l’événement de l’année !
Demi-journée, journée complète ? Cela reste à décider.
Où ? Nous sommes à la recherche d’un lieu gratuit (enfin, pas cher !) et convivial, avec une grande salle et des petites autour, de l’espace (vert !) pour organiser des « jeux » extérieurs ou un pique-nique géant ou… Cela reste à décider.
Organisé par qui ? Le Collectif Marinaleda 81* bien sûr, avec des organisations syndicales, associatives et toutes les personnes intéressées par le sujet et disposées à apporter un petit coup de main… pour donner de l’ampleur, de la joie, de la vivacité, de la réflexion, du pep, bref de la vie à cet événement !
Un autre monde existe : Marinaleda
Après un premier séjour de 3 semaines à Marinaleda, en janvier 2011, nos camarades Brigitte et Francis témoignent pour Confluences 81
IL ÉTAIT UNE FOIS
Marinaleda : ville d’Andalousie de 2700 habitants en Espagne et Sarkoville sur Tarn ville de 2300 habitants en France.
Acte 1
A Marinaleda :
Pas de gendarmes, pas de police municipale.
Un maire (Juan Manuel Sanchez Gordillo) élu, réélu depuis 32 ans avec entre 65 et 78% des voix exprimées et des conseillers qui ne prennent aucune rémunération.
Un maire qui ne fait rien sans l’accord et l’appui de la population, un engagement signé entre les deux parties les soude.
Une démocratie active et participative qui implique les citoyens deux à trois fois par mois.
Des prises de positions appliquées si 60% des citoyens les approuvent.
Des subventions qui servent l’intérêt général des citoyens.
Une vaste coopérative ouvrière (conserverie et exploitation agricole) où les salaires sont égaux entre hommes et femmes (1200€) pour 6 heures par jour et 6 jours par semaine (aménageable suivant les besoins et nécessités), les bénéfices servent à la communauté.
Pas de demandeur d’emploi.