Arifat : réunion d’information sur le compteur Linky
Le Maire participera à cette réunion, car la pose doit débuter en janvier 2019, et il est urgent que la Mairie se positionne.
Patrice pour le Collectif “Alerte aux ondes de Vabre”
Cessons d’écouter les sempiternelles injonctions à la consommation :« Achetez cela, vous vous sentirez mieux. Prenez un crédit, vous serez plus riche. Offrez-vous ça, vous serez heureux. Consommez comme ça : nous savons ce qui est bon pour vous… Ecoutez-nous. Ecoutez-nous à la télé, dans la rue, dans le métro, à la radio, dans votre boîte aux lettres, dans vos journaux, sur internet, dans votre boîte mail. Ecoutez-nous, et consommez. »
Vous en avez marre ?
Nous aussi, eux aussi, elles aussi, moi aussi..
http://stsulpice-active-citoyenne.fr/category/terra-2/
Fanou
Informations complémentaires sur https://ccaves.org/blog/ collectifvallon@gmail.com
En apercevant l’antenne-relais de l’autre côté de la rue de ce village, il détourna le regard. Avec tant de cadres d’ingénierie qui recherchent dans le secteur, rêvent de co-working et de « changer l’économie pour changer le monde »1, des niaiseries auxquelles il n’avait jamais cru, il avait malgré tout accepté l’évolution de sa carrière. Sa formation d’énergéticien au temps du monopole d’État lui permettait à l’époque d’assumer des choix plus large que ceux de quelques illuminés dévouant leur existence au numérique. Monsieur Machaind est représentant en objets connectés, et ce qui l’inquiétait ce soir, dans la salle du café, contemplant cette antenne, était la proximité de l’EPHAD auquel s’ajoutait l’écriteau d’une cantine pour gamins2. Peut être dix mètres seulement séparait le pylône de la maison des anciens. Que la mairie se trouve aussi à proximité ne l’étonnait guère, il avait même eu vent d’un maire décédé d’une tumeur au cerveau lors de son second mandat, avec une antenne à quelques mètres de son bureau. Cela n’avait pas eu l’air d’affoler grand monde, et puis comment prouver l’influence seule du pylône ? Le marché hebdomadaire y prospère toujours dessous. Et puis il se souvint du faisceau de l’antenne en direction de l’école primaire de Saint-Aubin à Toulouse, combien ? 50 mètres peut être…3 Ce soir, la vision de cette grue connectée, une heure avant le Conseil municipal où il doit intervenir, le fit sourire, comme s’il constatait une bêtise de gosse que lui n’aurait jamais commise.
– Vous regardez l’antenne ? Lui lança Odile, qui était accompagnée de Bertrand, tous deux conseillers. Elle prit place face au commercial, et poursuivit :
– C’est le fait de vos collègues qui n’ont aucun respect pour la santé des personnes les plus fragiles.
Conférence à Albi le 18 Octobre 2018 (Salle du Pigné,boulevard Salengro)
organisée par le CMGA
Que veulent les opérateurs du numérique?
(Re: Beaucoup d’argent et de pouvoir)
1/ liminaire:
Le monde du numérique balise et bétonne au fur et à mesure de ses déploiements technologiques.
Comment?:
Rendez vous le samedi 20 octobre à En Solomiac à VERFEIL
à partir de 19h
En venant nombreux à cet évènement citoyen festif, vous contribuerez aussi à soutenir notre action. Nous comptons sur votre présence.
Les propositions du programme l’Avenir en commun :
Après deux années de déploiement à marches forcées du compteur/capteur Linky par ENEDIS et ses bataillons de poseurs sous-traitants, force est de constater que ce soi-disant “concentré de technologie” fait souvent l’objet d’articles de presse évoquant les mésaventures vécues par des usagers ayant accepté ou subi son installation.
Pourtant, les pouvoirs publics soutiennent inconditionnellement le prétendu saut technologique (qui est loin d’être avéré) incarné par ce capteur Linky dont la généralisation est inscrite dans une loi de transition dite écologique. D’ailleurs, les autorités territoriales y participent cyniquement en attaquant sans états d’âme au Tribunal administratif les élus soucieux de leurs administrés, qui osent braver le conformisme pro-Linky ambiant en prenant des arrêtés restrictifs face à cet acharnement à vouloir imposer un objet connecté dans le sanctuaire de la vie privée que sont les logements.
Marinaleda une nouvelle fois en danger…
Une certaine « mode Marinaleda », à gauche, est plutôt passée, tout comme a quasiment passé le Chiapas, l’EZLN et le sous-commandant Marcos… Le « tourisme révolutionnaire », fût-il bien intentionné, solidaire, a fondu comme neige au soleil et montré ses limites. Le « tourisme politique » s’évapore, les problèmes restent, retombent souvent dans la pénombre médiatique, sur ceux qui en souffrent le plus… Réactiver les « réseaux solidaires » n’est pas facile. Une fois de plus, Marinaleda est en danger et il faut la sauver. Sa population, ses élus, en appellent à une solidarité redoublée.
Juan Manuel Sanchez Gordillo, maire depuis 1979 de ce « pueblo» (village) andalou agricole insoumis, de 2 800 habitants, autogéré par sa population, vient de nous confirmer que, ce qu’il appelle « l’utopie concrète » de Marinaleda, est une nouvelle fois menacée. En effet, le gouvernement socialiste andalou de Susana Diaz a perdu le soutien de « la droite troglodyte ». PSOE et CIUDADANOS viennent de mettre fin à la gestion, ensemble, pendant trois ans, de la « communauté » (gouvernement régional). Rappelons que CIUDADANOS, contrairement aux efforts des médias pour le présenter comme « centriste », reste un parti bien de droite, à la couenne droitière endurcie. La machine à recycler le néo-franquisme a tenté de siphonner le parti populaire, pendant que le PSOE andalou draguait à droite.
J’en ai parlé à quelques un.e.s, j’ai fait analyser mes urines pour voir si elles contiennent du glyphosate, le 1er aout dernier en Ariège… j’attends les résultats, pour notamment m’associer à une plainte collective contre Monsento et Bayer… (à ce propos, y a du nouveau : https://www.mediapart.fr/journal/economie/110818/roundup-monsanto-lourdement-condamne-aux-etats-unis?utm_source=article_offert&utm_medium=email&utm_campaign=TRANSAC&utm_content=&utm_term=&xts=&xtor=EPR-1013-%5Barticle-offert%5D&xtloc=&url=&M_BT=52656453228 )
En Ariège: La campagne continue ! Plus de 200 personnes sont inscrites pour le prélèvement d’urines, dont plus de 150 avec plainte.
50 personnes portant plainte ont fait leurs analyses Mercredi 1 août. La plainte a été déposée le 15 juin 2018 par 8 faucheurs qui avaient déjà fait leurs analyses.