Démarche citoyenne
Le compteur électrique nouveau va arriver !
La loi de transition énergétique, qui sera votée « avant l’été 2015 », prévoit de rendre obligatoire le Linky, un nouveau compteur électrique qui émet des radiofréquences, sous peine d’amende de 1.500 euros.
Les radiofréquences qu’émet le Linky sont classées « cancérogènes possibles » depuis le 31 mai 2011 par le Centre international de recherche sur le cancer, qui dépend de l’OMS.
Après l’installation d’un compteur Linky, tous les appareils électriques ré-émettent ces radiofréquences sur une distance de 2,50 mètres.
Albi, 28 avril : débat sur le malaise social
Le collectif albigeois “Psychanalyse et politique”,ouvert à tous travaille depuis une dizaine d’années à l’analyse de la société cotemporaine, et aux effets du capitalisme sur les sujets, avec pour objectif d’essayer de dégager des voies de sortie de ce système hégémonique, “totalitaire” sous ses apparences pseudo-démocratiques, sachant qu’il a déjà fortement oeuvré à “formater” les esprits, et désagrégé le lien social.
Marinaleda : un film…
Marinaleda. Une petite ville de 2.700 habitants, au cœur de l’Andalousie, dans le sud de l’Espagne.
Ici, il n’y a pas de policiers. Pas de voleurs.
Ici, il y a moins de chômage qu’ailleurs, et on partage le travail.
élections départementales, 2nd tour : faites votre choix !
Activisme productiviste ou offre libérée des contraintes écologiques ?
Modernisation du code du travail ou ringardisation ?
Justice sélective ou justice aux ordres ?
Appel du Réseau Education sans Frontières du Tarn
Le problème de l’ hébergement est crucial et est au centre de nos préoccupations .
Un groupe s’ est déjà constitué pour monter un projet s’ inspirant de celui réalisé par l’ association « PAS SANS TOIT » du 82 alliant hébergement et culture.
Un autre groupe se propose de réfléchir à un projet essayant de donner une visibilité au besoin d’ hébergement.
Contact : resf.81@gmail.com
Se passer de patron, chiche !
Retenez bien ce titre… et la date du 26 septembre 2015. Cochez-la sur votre agenda : ce sera l’événement de l’année !
Demi-journée, journée complète ? Cela reste à décider.
Où ? Nous sommes à la recherche d’un lieu gratuit (enfin, pas cher !) et convivial, avec une grande salle et des petites autour, de l’espace (vert !) pour organiser des « jeux » extérieurs ou un pique-nique géant ou… Cela reste à décider.
Organisé par qui ? Le Collectif Marinaleda 81* bien sûr, avec des organisations syndicales, associatives et toutes les personnes intéressées par le sujet et disposées à apporter un petit coup de main… pour donner de l’ampleur, de la joie, de la vivacité, de la réflexion, du pep, bref de la vie à cet événement !
Dialogue n° 8 de Jacques et de son Maître
Dialogue n° 8 : en vacances ?!
Jacques et son maître firent leurs provisions gourmandes à Die, puis à Montélimar. Là ils s’enlisèrent dans de longues files avançant au pas, mêlant de lourds convois de marchandises et autres chariots et charrettes aux diligences, chaises à porteurs, cabriolets, cavaliers et piétons dans un inextricable entassement de caisses, cageots de fruits, baluchons, malles et sacs divers… L’ensemble était même bloqué dans la direction de la Méditerranée. Leurs chevaux renâclaient à chaque arrêt et la chaleur aidant, Le Maître s’impatientait.
Le Maître : J’imaginerais bien un grand élargissement de ces chemins : plusieurs files parallèles dans les deux sens, avec, aux villes stratégiques, des guérites pour percevoir les taxes de passage. Quand se décidera-t-on à moderniser notre pays et à favoriser la rapidité dans les échanges économiques ?
Jacques : Ah, mon bon Maître, je sens que vous allez me parler de désenclavement économique !
Dialogue n° 7 de Jacques et de son Maître
Jacques et son maître traversèrent sans s’arrêter la grande ville de Lyon et longèrent la vallée du Rhône en direction du sud. Ils envisageaient de joindre l’Aveyron en passant par les gorges du Tarn, obliquant vers l’ouest après Montélimar. à Vienne, ils songèrent un instant se diriger vers Grenoble. Selon ce qui se disait, de grands changements venaient de s’y produire. D’un commun accord, ils remirent à plus tard la visite de cette ville, afin, disait Jacques « de laisser aux nouveaux venus le temps de faire leurs preuves ».
À Valence, ils quittèrent le fleuve majestueux en direction de Die où, selon le maître de Jacques, une fameuse clairette leur tendrait ses flûtes. Peu après Crest, sur les bords de la Drôme, ils tombèrent fortuitement sur Saillans. Surpris par la douceur de l’air et l’activité bourdonnante des habitants, ils y découvrirent une forme d’auto-gouvernement étonnante.
Remontant en selle quelques jours plus tard, le dialogue reprit.
Le Maître : Quels magnifiques couchers de soleil sur le Vercors ! J’en suis tout ébaubi.
Jacques : Certes, mon bon maître, mais est-ce là ce qui vous a frappé et intéressé ?
Le Maître : J’ai aussi remarqué que le maire était étrangement vêtu et se déplaçait sur une drôle de monture[1] !
Dialogue n° 6 de Jacques et de son Maître
Dialogue 6 : démocratie, autogestion et politique
Le soleil aidant, le dialogue reprit.
Le Maître : Jacques , tu as évoqué la perspective de la fin de l’Ancien Régime. Je verrais bien une monarchie constitutionnelle, avec un Parlement qui voterait les lois et un Roi qui serait garant de leur exécution.
Jacques : Pourquoi pas une République ?
Le Maître (avec humeur) : Inimaginable ! Comment les gueux pourraient-ils gouverner un pays comme le nôtre ?
Jacques : S’ils sont capables de gouverner Saint Martin, pourquoi pas à un autre niveau ?
Le Maître : Tu ne peux nier qu’à grande échelle, la politique est affaire de spécialistes, d’experts ?