Plusieurs familles solidaires et associations bénévoles pallient les
manquements de l’État dans la prise en charge des réfugié·e·s.
Sans cette solidarité il y aurait de nombreux·ses jeunes et
familles à la rue (3 degrés dehors la nuit en ce moment).
L'administration française et plus particulièrement tarnaise rendent le
parcours de la légalisation de plus en plus compliqué, frôlent
l'illégalité et sabotent le travail des associations.
- Pour dénoncer la violence des actions de la Préfecture du Tarn, du
Département, du DDAEOMI (Dispositif Départemental d’Accueil,
d’Évaluation et d’Orientation des Mineurs Isolés), de l'ASE (Aide
Sociale à l’Enfance) et de la DIRECCTE (Direction Régionale des
Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de
l’Emploi)
- Pour faire reconnaître le droit à l'éducation, au logement, à la santé
et préserver la dignité humaine
- Pour rendre visible la précarité de la situation induite par les
mesures et les négligences de l’État
REJOIGNEZ NOUS LE 30 DÉCEMBRE À ALBI, PLACE DU VIGAN À 14h.
Ramenez vos tentes, vos instruments et votre énergie...
Prises de parole, échanges, organisation d'actions futures, soutien,
informations, ... un joli programme nous attend !
Le Collectif Stop Terra 2 est soutenu par Confluences 81
Saint-Sulpice-la-Pointe, le mardi 21 décembre 2020. En cette fin d’année, faisons un point sur la ZAC Les Portes du Tarn et la plateforme logistique TERRA 2 :
Au niveau institutionnel, la région Occitanie vient de prendre des actions dans la Société Publique Locale d’Aménagement 81 (SPLA 81), titulaire d’un contrat de concession d’aménagement de la ZAC Les Portes du Tarn confié par le syndicat mixte (SMIX) composé des départements du Tarn et de la Haute-Garonne, de la communauté de communes de Val’Aïgo et de la communauté de communes Tarn-Agout. Elle rejoint, au conseil d’administration de la SPLA 81, le conseil départemental (CD) du Tarn et le SMIX. Cette prise d’actions permet au CD 81 de se mettre enfin en conformité avec la loi NOTRe. On peut s’interroger sur ce choix de la région d’entrer dans le capital de la SPLA 81 sans adhérer pour l’instant au SMIX, l’organe de contrôle politique qui, comme l’indique la chambre régionale des comptes d’Occitanie dans son rapport, prend « en charge l’intégralité du risque économique inhérent à l’opération » 1
