Bonjour à tous,
Dans le cadre de la semaine de la solidarité, l’association Layidou propose sa dernière création qui a vu le jour en juin 2016, à l’institut français de Bamako au Mali.
J’espère avoir le plaisir de vous y retrouver bientôt.
JE TUERAI LE SINGE
(Errance d’enfants soldats) – Comédie tragique
Durée : 1h15 – A partir de 15 ans
Clip Vidéo
Jeudi 10 novembre à 20h30 : Salle du Tortill’Art à St Amans Soult (81)
Réservation : 05 63 98 30 43 – Tarif : 5 €
Samedi 12 novembre : Théâtre Na Loba à Pennautier (11)
Plus d’information à venir
Jeudi 17 novembre à 20h30 : MJC Pont des Demoiselles à Toulouse (31)
Réservation : 05 61 52 24 33 – Tarif : 6 €
Mis en scène par Amandine Sagnes en complicité avec Koami Vignon.
Avec : Moussa OUEDRAOGO (Burkina-Faso), Jean-Marie TRAORE (Mali), Koami VIGNON (Togo/ Burkina), Isabelle POULAIN (France).
Musique : Manjul (Mali/France) – Décor : Drissa Coulibaly (Mali) – Communication : Marion Barges (Mali/France).
Coproduction : Institut Français du Mali, Conseil Départemental de l’Aude, Coopération Suisse du Mali.
Coréalisation : Théâtre du Regain (France) – Réalisation : Association Layidou.
Avec le soutien de : Adama Traoré de l’Association Acte 7, Moussa Keita de l’école des sourds de Bamako, Aziz Siten’K, Mama Koné.
Le spectacle : Koami Vignon et Amandine Sagnes s’associent pour la première fois pour porter cette mise en scène aussi comique que dramatique mais toujours inscrite dans la modernité.
Les années 90 en Afrique. Koami, Jean-Marie et Moussa, trois jeunes amis partent insouciants participer à un concours de hip-hop. Lorsqu’ils sont en chemin, la guerre éclate et leurs familles ont quitté le village, ils sont seuls. Démarre alors une longue errance dans la forêt qui s’avèrera tout aussi drôle que dramatique. Ils vont lutter pour fuir la guerre, soudés par une amitié infaillible qui les aide à rester humains. Mais après de longs mois de fuite, ils n’ont plus d’autre choix que de prendre les armes. Affamés et drogués, ils n’ont que 12 ans et sont devenus des machines à tuer.
Après des années de souffrance, ils sont envoyés dans un centre de réadaptation de l’Unicef où l’on pourrait s’imaginer qu’ils vont retrouver la paix. Mais ces enfants doivent tout réapprendre : manger, dormir, faire confiance, ils doivent se défaire de cette violence qui les habite encore.
Les “enfants soldats” qui combattent dans bien des pays sont une des réalités les plus noires de notre temps : hier encore, ils jouaient à la guerre. Désormais, ils la font.
Pour l’Association Layidou
Isabelle Poulain
06 24 17 51 54
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