Délires d’automne…
Vieux élisant contre jeunes aux arbres accrochés,
Délirants d’or contre des lyres d’air pur !
Vous les voyez vous aussi ces délires de violence vous qui êtes non violents.
Vous le vivez aussi ce délire de consommation vous qui êtes décroissants.
Vous les entendez encore ces lyres de promesses non tenues
– pauvre Père Noël ! – vous qui êtes des mélomanes de la politique.
Vous voyez bien que d’élire ne mène à rien,
Qu’il faut se mettre en résistance,
Qu’il faut se mettre en militance !
Mais oui, des lyres pour une société utopique,
Celle que nous essayons de construire…
Comme des abeilles sans reine
Mais oui au fait pourquoi une reine pour les abeilles ?
Ni d’élire,
Ni délires ?
Mais des lyres pour Confluences !
Des lyrons ensemble !
Comité de rédaction (6/10/14)