Bonjour à tou-te-s, en cette nouvelle année, le groupe actif de RESF Albi a déjà tenu sa première réunion, l’occasion pour nous de réfléchir à un nouveau fonctionnement pour plus d’efficacité dans le soutien que nous apportons aux personnes sans-papiers.
des événements s’organisent dans le Tarn pour donner de l’écho à la Marche Nationale des sans papiers qui partira, de plusieurs villes de France, ce samedi 19 septembre 2020 pour une arrivée à Paris prévue le 17 octobre.
Voici le calendrier des actions prévues localement :
*1/ samedi 19 septembre : rdv à Albi à 10h devant la DIRECCTE dans le quartier de Cantepau (44 Bd Maréchal Lannes — Albi). *Départ pour un circuit ponctué de prises de paroles puis déambulation et pique-nique à Gaillac avant de se rendre à Toulouse pour une manif régionale qui partira à 15h du “115” (68, av. Etienne Billières, métro Patte d’oie).
Tout est détaillé dans le tract joint.
2/ samedi 26 septembre : Marche Albi, départ 14h 30 de la place Fernand Pelloutier. Le parcours retrace “le parcours albigeois des sans papiers”, entre lieux de soutien et de solidarité, lieux de luttes, administrations où le rejet se substitue le plus souvent à l’accueil.
3/ samedi 03 octobre : Fête des 18 ans à Graulhet à partir de 16h, salle du Rugby (Gare routière) organisée par Solidarité Migrants Graulhet voir ici : https://tarn.demosphere.net/rv/14255
4/ samedi 10 octobre: Marche à Castres, départ 10h place Soult
5/ samedi 17 octobre : arrivée de la Marche à Paris — On envisage de se rendre à Paris depuis le Tarn pour participer à la manif… Des événements locaux (Tarn ou Toulouse) devraient aussi avoir lieu. C’est en cours d’organisation, plus d’infos à venir.
Retrouvons-nous sur ces événements pour manifester notre solidarité avec les sans papiers, exiger l’arrêt de politiques qui maltraitent, rejettent, tuent.
Novembre 2017 : Le froid est arrivé. Non, ceci n’est pas un bulletin météo !
Ce texte est le constat de ce que la France n’est plus un « État de droit » comme aiment pourtant à le répéter certains élus et hauts-fonctionnaires.
Depuis le 1er octobre, où a eu lieu le dramatique attentat à Marseille, les instructions données aux préfets (http://circulaires.legifrance.gouv.fr/pdf/2017/10/cir_42674.pdf ) par le ministre de l’Intérieur sont à la source de dérives inquiétantes et la machine à enfermer tourne à plein régime.
Par peur d’un acte terroriste, les préfets et les procureurs déclinent les instructions ministérielles et ordonnent des contrôles à tout va. Cette fermeté aveugle et disproportionnée, ce sont les personnes étrangères ou supposées l’être qui en sont les premières victimes, mais pas que…